Opération OUARDA : la presse en parle !
L'Association culturelle des harkis d'Ile-de-France a lancé il y a quelques temps maintenant une importante campagne de communication et de mobilisation en faveur de Ouarda, une fille, une maman, qui a besoin de la générosité de tous pour subir une opération à Barcelone afin de pouvoir continuer à vivre normalement. La grande famille des rapatriés connaît les engagements militants de la mamande Ouarda. C'est pour la grande famille des rapatriés doit encore poursuivre la mobilisation générale pour lever les fonds nécessaires et parvenir aux 18 000 euros qui sauveront Ouarda de cette maladie orpheline qu'est le syndrome d'Arnold Chiari.
Aujourd'hui, la presse régionale se mobilise. On ne peut que s'en féliciter. Nous reproduisons l'article que vient de publier le grand quotidien régional La Dépêche du Midi :
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Qui aidera Ouarda à se faire opérer ?
Publié le 20/06/2014 à 03:52
Solidarité à Agen
L'association Zeitun s'associe à la famille de Ouarda Kacem pour que la jeune femme soit opérée à Barcelone. Elle souffre du syndrome d'Arnold Chiari. C'est grave.
Sous ses lunettes de soleil, Aïsha Kacem cache l'émotion. Sa fille Ouarda habite à Perpignan. C'est loin mais la mère suit sa fille et ses petites-filles comme elle le peut. Ouarda, 32 ans, souffre du syndrome d'Arnold Chiari. Cette pathologie touche le cervelet et sans opération, le risque est vital. «Elle peut mourir du jour au lendemain quand le cerveau ne sera plus irrigué.» Elle passe sous silence des stigmates d'ordre plus privé.
Paralysie
C'est urgent, à l'échelle du développement de cette maladie dégénérative rare dont les symptômes chez Ouarda sont désormais une paralysie côté droit avec une perte bilatérale de la force estimée à 50 %. Premiers signes dès 2008. Maux de tête, vertiges, perte de sensibilité raconte sa mère. «Mais les médecins ne trouvaient pas. Il a fallu attendre un examen IRM pour découvrir le syndrome.» C'était en 2011. Deux ans ou pas loin pour chercher et chercher encore le nom d'un éventuel chirurgien capable d'opérer sans séquelles. Une craniectomie (neurochirurgie) peut provoquer des dégâts graves voire irréversibles. Elle est pratiquée en France mais Ouarda ne veut pas en entendre parler. Elle regarde du côté de Barcelone. «Un chirurgien, le Docteur Royo, est devenu un expert... (lire la suite)
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Pour plus d'informations, vous pouvez vous reporter au dossier que l'Association culturelle des harkis d'Ile-de-France consacre à OUARDA :
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